Paris, ville lumière, ville phare dans l’histoire de la culture, est le lieu qui a inspiré la création de la Vénus de Paris.

Aujourd’hui, dans ses rues, dans ses transports, partout, des modèles de Vénus sont là. Elles vivent, elles sont déterminées. Elles avancent vers des horizons intérieurs.Elles sont belles comme des déesses.

Déesse de l’amour et de la beauté, Aphrodite pour les Grecs, c’est sous le nom romain de Vénus qu’elle s’inscrit dans l’histoire. Le mythe est aujourd’hui universel et la facture classique de la Vénus de Paris en est l’expression.

Les vénus résonnaient jusqu’à présent comme une représentation absolue de l’éternel féminin.
Cet éternel féminin a inspiré les artistes depuis la nuit des temps. Mais les femmes ont changé, leurs représentations aussi.

Elles sont à Paris, ville émancipatrice, bien plus libres de leurs histoires.
Elles disposent maintenant de leur sensualité, ces beautés indéfinissables et multiples, ces éternels féminins qui, dans leurs diversités, remontent aux origines de l’humanité dont l’Afrique est le berceau.
La Venus de Paris se devait d’en faire l’écho.

C’est une allégorie au croisement d’un lieu, d’une culture et des origines.
Elle en est le lien, en hommage à chacun d’eux pour leur rôle et la contribution qu’ils ont apporté à l’histoire.

Riche de cet héritage, la Vénus de Paris est en action. C’est une déesse libre et indépendante.
C’est une femme émancipée, inscrite dans le présent, prête à inventer l’avenir et à participer à l’écriture de son histoire.